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D’où est sorti Mai 68 ? Que s’est-il passé pendant ce printemps fabuleux ? Comment comprendre ses lendemains, de l’utopie chimérique à l’utopie réaliste, de la révolution à la réforme ?
La Fondation Jean-Jaurès reçoit Henri Weber, figure de Mai 1968, cofondateur de la Jeunesse communiste révolutionnaire, puis de la Ligue communiste révolutionnaire, auteur de Rebelle jeunesse (Robert Laffont, mai 2018), lors d’une rencontre publique animée par Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès.
Est-il possible de changer l'école sans changer la société ? Existe-t-il une conception de l’éducation propre au socialisme ? Quels furent les liens entre les enseignants, leurs syndicats et le Parti socialiste ? Des questions qui ont traversé les générations du XIXe au XXIe siècle, et font l’objet d’un débat à la Fondation Jean-Jaurès autour de deux livres d’histoire récemment publiés. Cette soirée-débat réunit : - Gilles Candar et Guy Dreux pour l'ouvrage collectif qu'ils ont dirigé avec Christian Laval "Socialismes et éducation au XIXe siècle" (Le Bord de l’eau, janvier 2018), - Ismaïl Ferhat pour son livre tiré de sa thèse, "Socialistes et enseignants. Le Parti socialiste et la Fédération de l’Éducation nationale de 1971 à 1992" (Presses universitaires de Bordeaux, février 2018), et est animée par Dominique Meurs, professeure à l'Université Paris Ouest-Nanterre La Défense et membre de l’Observatoire de l'éducation de la Fondation Jean-Jaurès.
Le développement du football est porté par des investissements considérables de riches milliardaires, l’explosion des droits télévisuels et des recettes tirés du merchandising. Pourtant, derrière l’image d’une économie florissante se dissimule un envers du décor moins reluisant, marqué par les inégalités du traitement entre les rares superstars du ballon rond et la grande masse de joueurs aux revenus modestes. On en parle un mois avant la Coupe du monde, à l’occasion de la sortie d’un nouveau livre de la Fondation, en partenariat avec les éditions de L’Aube. Un débat a réuni : - Richard Bouigue, responsable du groupe de travail « Sport et société » à la Fondation Jean-Jaurès, co-auteur du livre "Le foot va-t-il exploser ? Pour une régulation du système économique du football" (Fondation Jean-Jaurès, L’Aube, 2018), - Pierre Ferracci, directeur du groupe Alpha, président du Paris Football Club (Ligue 2), - Pierre Rondeau, économiste du sport et professeur à la Sports Management School, co-auteur du livre "Le foot va-t-il exploser ? Pour une régulation du système économique du football" (Fondation Jean-Jaurès, L’Aube, 2018), et était animé par Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès.
Que doit-on à Michel Rocard ? Que reste-t-il de ses idées, de sa manière ? Qui étaient et qui sont les rocardiens ? Pourquoi se réclame-t-on encore de lui ? Alain Bergounioux et Jean-François Merle dialoguent avec Cécile Amar, journaliste à L'Obs, à l'occasion de la parution de "Le Rocardisme. Devoir d'inventaire" aux Éditions du Seuil.
Que doit-on à Michel Rocard ? Que reste-t-il de ses idées, de sa manière ? Qui étaient et qui sont les rocardiens ? Pourquoi se réclame-t-on encore de lui ? Alain Bergounioux et Jean-François Merle dialoguent avec Cécile Amar, journaliste à L'Obs, à l'occasion de la parution de "Le Rocardisme. Devoir d'inventaire" aux Éditions du Seuil.
Le développement du football est porté par des investissements considérables de riches milliardaires, l’explosion des droits télévisuels et des recettes tirés du merchandising. Pourtant, derrière l’image d’une économie florissante se dissimule un envers du décor moins reluisant, marqué par les inégalités du traitement entre les rares superstars du ballon rond et la grande masse de joueurs aux revenus modestes. On en parle un mois avant la Coupe du monde, à l’occasion de la sortie d’un nouveau livre de la Fondation, en partenariat avec les éditions de L’Aube. Un débat réunit : - Richard Bouigue, responsable du groupe de travail « Sport et société » à la Fondation Jean-Jaurès, co-auteur du livre "Le foot va-t-il exploser ? Pour une régulation du système économique du football" (Fondation Jean-Jaurès, L’Aube, 2018), - Pierre Ferracci, directeur du groupe Alpha, président du Paris Football Club (Ligue 2), - Pierre Rondeau, économiste du sport et professeur à la Sports Management School, co-auteur du livre "Le foot va-t-il exploser ? Pour une régulation du système économique du football" (Fondation Jean-Jaurès, L’Aube, 2018), et est animé par Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès.
Valoriser l’implication des salariés dans la gouvernance de l’entreprise, mieux les associer aux résultats, c’est l’un des enjeux de la future Loi « Pacte ». Un débat s'est tenu à la Fondation avec des acteurs clefs du sujet : - Pascal Demurger, directeur général du Groupe Maif ; - Stanislas Guérini, député de Paris ; - Frédérique Lellouche, secrétaire confédérale de la CFDT, en charge de la RSE ; - Pierre Victoria, directeur de développement durable de Veolia, co-auteur du rapport de la Fondation Jean-Jaurès, « Entreprises engagées. Comment concilier l’entreprise et les citoyens ».
Comment la presse écrite peut-elle survivre face à la place prise par le numérique dans ce secteur depuis plusieurs années maintenant ? Les médias indépendants ne sont-ils pas assez soutenus ? L'avenir est-il dans la presse gratuite ? Pour en débattre, la Fondation a reçu Éric Fottorino, cofondateur et directeur de la publication du journal Le Un, ancien PDG du groupe Le Monde, lors d'une rencontre publique animée par Emmanuel Bachellerie, conseiller en communication.
Manif pour tous, Sens commun, réactions par rapport à la PMA, la crise migratoire ou la visibilité de l’islam : les "cathos" seraient-ils de retour en politique ? Après le discours du président de la République devant la Conférence des évêques de France, la Fondation reçoit Jérôme Fourquet, directeur du département Opinion et stratégies d'entreprise de l'Ifop, auteur de "À la droite de Dieu" (Éditions du Cerf, 2018), pour évoquer la réalité du "catholicisme politique" aujourd'hui.
Émeric Bréhier revient sur les annonces récentes faites par le Premier ministre concernant la future réforme constitutionelle. Pour lui, si l’on peut émettre une critique à ce stade, c’est la faiblesse des propositions quant à l’organisation du travail parlementaire.
Le gouvernement a donc abattu – en partie ? – ses cartes. Il n’y eut en réalité guère de surprises à l’écoute de l’intervention du Premier ministre Édouard Philippe. Il n’y en eut guère plus à la lecture du projet transmis au Conseil d’État. On retrouve les termes usités par le président de la République à maintes et maintes reprises afin de caractériser la démarche institutionnelle qui est la sienne : modernisation, efficacité, meilleure représentation. Nulle surprise non plus quant aux trois textes qui seront prochainement présentés : le premier d’ordre constitutionnel, le deuxième organique et le troisième ordinaire.
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À l’heure où de nombreux mouvements d’émancipation s’expriment de part et d’autre de la planète, comment analyser l’exercice de Donald Trump sous le prisme du genre ? Réponse avec Marie-Cécile Naves à l’occasion de la sortie de son livre, Trump, la revanche de l’homme blanc (Textuel, 2018).